PCPJ ??
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Le
« Pourquoi c’est pas
juste ? » est issu de la volonté d’un
groupe d’enseignants
spécialisés de la région lyonnaise de
concrétiser un lien entre les données de
la neuropsychologie de l’enfant concernant les troubles des
apprentissages et
les actions pédagogiques dispensées en classe afin
d’améliorer le repérage des
ces troubles et leur prise en charge sur un plan scolaire.
Il s’agit d’un
outil d’observation des
aptitudes et difficultés scolaires de l’enfant de cycle II. Il a été conçu pour le
repérage de
difficultés d’apprentissage chez l’enfant
scolarisé en centre spécialisé ou en
milieu ordinaire.
L’objectif de cette grille
d’observation est double : permettre à
l’enseignant de cerner la nature et
l’intensité des difficultés
présentées par son élève d’une part,
et servir de
base de travail entre l’instituteur et les différents
intervenants auprès de
l’enfant (médecin scolaire, psychologue scolaire,
R.A.S.E.D., rééducateurs,
consultation spécialisée) d’autre part. Il ne
s’agit ni d’amener l’enseignant à
poser un diagnostic, ni de se substituer à une évaluation
spécifique, mais de
mettre à jour des signes d’alerte, premier pas vers une
action
pluridisciplinaire ciblée.
Le questionnaire, constitué de
livrets indépendants – Faisons connaissance… ;
Acquisition du langage
écrit, Habiletés manuelles et repérage dans
l’espace ; Compétences
mathématiques ; Compétences transversales - est
construit sur la base d’un
rapprochement entre les connaissances apportées par la
neuropsychologie
cognitive concernant les tableaux cliniques des troubles des
apprentissages
chez l’enfant et les enseignements dispensés au sein de la
classe. Les items
proposés dans les livrets, bien que sous-tendus par une approche
neuropsychologique, reprennent les activités scolaires
proposées à l’enfant de
Cycle II telles que décrites dans les livrets de
compétences de l’Education
Nationale. Pour plus d’informations, lire l’article
« POURQUOI C’EST PAS
JUSTE ? » Outil
d’observation des aptitudes et difficultés
scolaires de l’élève de cycle II. Pourquoi deux points
d'interrogation ? |